Grâce à un collaborateur français, Burckhardt s’installe dans une baraque de chantier en banlieue parisienne à l’automne 1965. Ce nouveau site devient nécessaire pour gérer efficacement la construction du siège social et des laboratoires de Sandoz SA en France, à commencer par le bâtiment administratif sur l’ancien « Domaine Rueillois » du cardinal Richelieu. En 1967, le « Bureau d’Études Burckhardt », premier bureau officiel de Burckhardt en France, dirigé par l’architecte Bernhard E. Zehrfuss, ouvre à Rueil-Malmaison, dans la banlieue ouest de Paris.
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À peine deux ans plus tard, ces locaux deviennent à leur tour trop petits et Burckhardt se rapproche du centre-ville, rue Letellier, dans le XVe arrondissement, à quelques minutes au sud de la tour Eiffel. L’accès y est bien plus aisé que dans la banlieue ouest et la situation géographique plus prometteuse sur le plan économique. Le nouvel avant-poste de Burckhardt gère et réalise de petits comme de grands projets, surtout à Paris, puis également à Lille, Orléans, Strasbourg, Toulouse et Lyon. En outre, l’équipe dirigée par Claude Bourgain et Willy Treu gère des mandats en Belgique et à Bâle.
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Un programme d’échange permet aux collaboratrices et collaborateurs bâlois et parisiens d’effectuer des séjours de travail à Paris et à Bâle. Outre la gestion locale des projets, le nouveau site sert en premier lieu à accompagner les grands clients suisses à l’étranger et à accroître ainsi la notoriété de la société au-delà des frontières.
En 1972, le « Bureau d’Études Burckhardt » est rebaptisé « Burckhardt France, Société civile professionnelle d’architecture », avec à sa tête Edgar Decurtins, Philippe Fayeton et Werner Stutz.
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